Gérard BERTON
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Vente immobilière Le Revest les Eaux

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Les ventes immobilières à Le Revest-les-Eaux ont-elles résisté au Covid ?


Malgré un léger recul des transactions, la pierre a remarquablement résisté en 2020. Cette année restera gravée dans le souvenir de la plupart d’entre nous. Dans ce contexte économique et sanitaire sans précédent, comment s’est comporté l’immobilier ? Les ventes immobilières à Le Revest-les-Eaux, située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, se sont-elles maintenues ? Oui malgré des conditions de visite et d’exercice qui n’ont pas été des plus faciles. Faisons le point sur cette année 2020.

En 2020, le volume de transactions est resté proche du million, à 980 000 opérations. Ce niveau élevé peut surprendre. Ce n’est pas forcément le ressenti le plus communément partagé, mais c’est à cause de l’effet loupe de Paris, où les transactions ont en effet chuté de 17%. L’Ile-de-France aussi a reculé. Il n’empêche, malgré la baisse générale de 8% sur un an, le niveau national est resté supérieur à ceux de 2017 et de 2018.
 

Des prix toujours en légère progression 


De même, en valeur, les prix se sont non seulement maintenus, mais ils ont poursuivi leur progression, à +4%, alors que, parallèlement, l’inflation est restée contenue à 0,2%.
Au niveau national, le prix moyen du mètre carré s’établit à 2 807 euros. Plus précisément, à 3844 € pour les appartements (+5,3%) ; et à 2276 € pour les maisons (+ 2,4%). 
 

Des disparités entre marchés, mais une amorce de convergence 


Comme toujours, la synthèse occulte de fortes disparités, en particulier entre la capitale et le reste du territoire. À Paris, les prix continuent de grimper, de 3,4%, pour atteindre, dans les appartements, les 10 534 euros du mètre carré.
En Île-de-France, la progression est de 5,4%, à 6 270 euros le mètre carré pour les appartements, et 3 416 € pour les maisons. En province, les prix progressent plus modérément, de 3,3%. Tandis que dans les DOM (hors Mayotte), ils augmentent de 1%, alors qu’ils avaient augmenté de 2,6% l’année précédente.

Le phénomène de résilience se traduit aussi dans l’évolution des prix selon la taille des villes. 2020 avait apparemment été l’année de la revanche pour les communes rurales, devenues les coqueluches des ménages urbains cherchant à fuir le confinement. Cette attractivité tarde à se traduire en termes de prix.

 

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O.D. / Bazikpress © Adobe Stock